En réaction à la crise et à la baisse prévue de sa production (de 20% en 2009), Renault a présenté aux syndicats un "contrat social de crise" qui se devait de respecter les engagements pris par le constructeur auprès de l'Etat.
Ce plan de crise présente une nouveauté de taille qui est l' extension du chômage partiel à l' ensemble du personnel de Renault SAS, toutes catégories confondues. Dans ce cadre, le constructeur annonce vouloir "donner la possibilité d' une rémunération nette jusqu'à 100% en améliorant l' indemnisation des jours chômés"; cette mesure pourrait être mise en place "grâce à un complément issu du fonds de gestion de crise et du rachat, au volontariat, des jours de CTI (capital temps individuel)" précise la direction.
Aucun plan de départs en 2009 n' a jusqu' à maintenant été annoncé par Renault.
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